On lui offrit quatre vingt dix dihrams qu’on avait posé sur un tapis. Il les distribua, tous,
et ne refusa pas d’accorder quelque chose à celui qui le lui demandait.
Il donna à Al’Abass, une si grande quantité d’or qu’il ne put la porter.
Un homme vint à lui et demanda son aide. « Je n’ai rien à te donner », lui dit-il, « mais vas acheter ce que tu veux à mon compte. Je rembourserai le vendeur lorsque j’aurai de quoi le payer. »